Une maladie du sommeil
Ho tradotto anche in francese la prima parte del mio racconto sulla malattia del sonno di Francischiello.
Potete trovare qui le versioni in napoletano, italiano e inglese.
Francischiello avait une maladie du sommeil. Il ne reussissait pas à s’endormir.
Ça faisait cinq mois qu’il ne serrait pas les yeux.
Bon, je sais ce que vous allez dire: ce pauvre garçon aurait dû être mort depuis longtemps si les choses eussent été ainsi.
Mais, à dire la verité, quelquefois il reposait un petit peu: deux heures, peut-être trois ou cinq, mais jamais pour une nuit entière.
Très souvent, même quand il dormait, il se reveillait beaucoup de fois, c’est-à-dire que ses nuits ressemblaient à une lutte.
Il avait demandé conseille à son médicin qui avait répondu qu’il avait attrapé un drôle de virus. Oui, cela ne serait pas arrivé à une personne normale, mais bon, il avait de la chance.
Regagner la santé, d’ailleurs, était effroyablement compliqué: la médecine disait que s’agissait d’un processus spontané, mais jusqu’à la guérison la seule chose qu’on pouvait faire était simplement de croiser les bras.
Franchischiello vivait avec sa mère qui n’était plus toute jeune, puisqu’elle avait plus de soixante-dix années sur ses épaules. Ses nuits étaient un peu meilleures, mais pas optimales: elle dormait d’un sommeil léger, fréquemment interrompu.
En quelques occasions, la veille dame avait dû renoncer à la messe dominicale, tant qu’elle était épuisée, en choisissant en revanche de la regarder à la télé.
Toutefois le temps continuait à s’écouler, la situation ne s’améliorait pas, et personne ne savait comment les choses se seraient développées.
Francischiello, désormais, sentait ses genoux l’abandonner: il était au bord de défaillir ou d’être forcément emmené à l’hôpital.
Il seguito qui, in italiano e napoletano.